"...On a du mal à s'y reconnaître !!!
MAIS....
ARRÊTEZ DE VOUS PLAINDRE !!!
VOTEZ
POURQUOI TOUJOURS LES MÊMES ???
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs !!!
MAIS VOTRE ABSTENTION FAVORISE LES MAGOUILLES!!!!
En France, les 14 et 21 mars 2010...
ELECTIONS REGIONALES.
Changez vos habitudes et, au lieu de vous plaindre des têtes en place,
avec les mêmes conseillers inchangeables...Utilisez votre droit de citoyen avant d'aller vous promener ailleurs, en laissant voter toujours les mêmes au grand bonheur de ceux
qui sont en place, sans craindre vos sanctions .
Mêmes modestes, de nouveaux droits vous sont donnés...Utilisez-les !!!
*****
Relisez Jean de la Fontaine, mais ne courbez jamais l'échine en bêlant dans le troupeau des moutons!!! L'évolution de notre socièté est bien lente, mais il y a eu de nouveaux chemins depuis que les citoyens peuvent voter et, selon votre nombre de participants, les surprises peuvent être moins mauvaises pour les un(e)s ou meilleures pour les autres ...
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Il publiera ensuite régulièrement de nouvelles fables jusqu'à l'age de 72 ans. Son dernier recueil parait en 1693, le 1er septembre. Il reprend des publications antérieures et dix fables inédites.
Vous que doivent troubler mille accidents sinistres,
Que le malheur abat, que le bonheur corrompt,
Vous ne vous voyez point, vous ne voyez personne.
Puisse-t-elle être utile aux siècles à venir !
Je la présente aux Rois, je la propose aux Sages :
Par où saurais-je mieux finir ?
***
a- le lion et le renard ou comment disculper un puissant coupable
b- l'âne et le lion ou comment condamner un misérable innocent
LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE
Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisoit aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyoit point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitoit leur envie ;
Ni loups ni renards n'épioient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyoient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : "Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux;
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements.
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons,
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avoient-ils fait ? Nulle offense;
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice,
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse.
Eh bien! manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes, Seigneur,
En les croquant, beaucoup d'honneur;
Et quant au berger, l'on peut dire
Qu'il étoit digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire."
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : "J'ai souvenance
Qu'en un pré de moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net."
A ces mots on cria haro sur le Baudet.
Un Loup quelque peu clerc, prouva par sa harangue
Qu'il falloit dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venoit tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'étoit capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérableUn mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisoit aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyoit point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitoit leur envie ;
Ni loups ni renards n'épioient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyoient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : "Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux;
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements.
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons,
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avoient-ils fait ? Nulle offense;
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice,
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse.
Eh bien! manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes, Seigneur,
En les croquant, beaucoup d'honneur;
Et quant au berger, l'on peut dire
Qu'il étoit digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire."
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : "J'ai souvenance
Qu'en un pré de moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net."
A ces mots on cria haro sur le Baudet.
Un Loup quelque peu clerc, prouva par sa harangue
Qu'il falloit dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venoit tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'étoit capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Jean de La Fontaine
***
Ne suivez pas le troupeau des moutons résignés...
Allez à contre-sens, comme le mouton noir !!!
VOTEZ
Même si les loups ne se mangent pas entre eux...
Ils sont plus méfiants quand il y a des chasseurs!!!
*
LOUPS ET VAMPIRES
(Pamphlet)
Les loups ne se mangent pas entre eux...
Les gens d'argent, sans foi ni loi
sont devenus bêtes de jeux
et se comportent comme des putois
Leur culte est celui du Veau d'Or,
mais le ver est là dans la pomme
et ceux qu'ils exploitent dehors
voient leur image qui se déforme !
Les loups ne se mangent pas entre eux.
Les hommes sont devenus Vampires.
Ils se combattent comme des dieux
et l'on peut bien craindre le pire.
Les Vampires sont des dieux de guerre.
Ils ne cherchent que leur profit.
L'humain ne les occupe guère
et l'usure est leur paradis.
les loups ne se mangent pas entre eux.
Ils vivent ensemble, solidaires.
Les hommes sont bien plus dangereux,
âpres au gain et solitaires !
Pierfetz©
http://arciel88.fr/bibpoesiespierrot/IV-2Vampires.htm
*
Si cette poésie de Pierrot est la vérité:
"Les grands ne se mangent pas entre eux"
Il n'en reste pas moins vrai que nos grands "sous-ordre" des Lobbys du monde financier peuvent atténuer, avec leurs petite
influence, les appétits sans bornes des grands loups qui dirigent le monde des consciences et des porte-monnaie !!!
***
Certains ont oublié ce qu'ils sont, et le pouvoir leur monte à la tête. D'autres adorent le "veau d'or" et d'autres encore transforment ce monde en enfer...
Je leur dit attention à tous ceux-là, ils sont sur la même planète que nous, et quand elle se fâche, c'est pour tout le monde pareil... Il y a des forces qui se rient des "puissants"
qui sont même des cibles de choix... J.J.REY
Ci-dessous: Où sont les loups ? Une vidéo de circonstance, de Pierfetz !!!
***
Si cette page vous a déprimés par son réalisme, ne relachez pas votre action de petit grain de sable dans les grands rouages et défoulez-vous tout comme nous avec une bonne chanson à la française. Et malgré tout:
VOTEZ
***
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Passez du rêve à la réalité sans brûler le rêve !!!
/http%3A%2F%2Fimg406.imageshack.us%2Fimg406%2F1977%2Flecteurrx8.gif)
DERNIERES NOUVELLES
Pour les humoristes!!!
répondre à vos courriers....si nombreux...
Mais un commentaire de vous sur cette page fait toujours chaud au coeur de Pierrot !
Visionner, en page menu du site de Pierrot,
un superbe diaporama artistique!!! ( clic sur lapin )
http://arciel88.fr/menu/arciel88-menugeneral.htm
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